Quand un corps étranger pénètre et se multiplie dans l’organisme provoquant une lésion des cellules locales, on parle d’infection. Et quand elle s’installe, elle cause des troubles, faits de dégâts et peut même entraîner la mort du sujet. Dans cet article, nous allons davantage l’expliquer, donner ses signes, les types d’infection et ce qu’il y a lieu de faire en cas de contamination.
Manifestations des signes de l’infection
Généralement, l’infection évolue suivant des phases données à savoir la phase d’incubation, d’invasion, d’état, d’évolution et de convalescence. Ainsi, on a le contact avec le virus ou le germe à la phase d’incubation. Ici, la personne est déjà infectée, mais ne présentant aucun signe encore. Or, à la phase d’invasion, les premiers signes comme la fatigue, la fièvre apparaisse mais ne sont souvent pas pris au sérieux. Cependant, à la phase d’état, la maladie atteint déjà un niveau où des petits boutons commencent à apparaitre sur le malade. Ou encore la toux devient intense à cette phase. Mais si à cette étape cruciale, le malade est bien pris en charge, ces signes suscités pourront s’atténuer et ce sera le début de la guérison. Toutefois, si rien n’a été fait, la maladie pourra s’aggraver : c’est la phase d’évolution à la convalescence
Les types d’infection et le traitement adéquat
Qu’ils s’agissent d’une contamination atmosphérique (système orl), alimentaire (l’appareil digestif), locale (l’appareil urinaire) et cutanée (la peau et ses dépendances), etc. Le constat est que presque tous les organes de l’organisme peuvent être atteints par l’infection. Par ailleurs, quand l’organisme n’est pas arrivé à se défendre, le patient se doit de suivre un traitement sans quoi, il court un risque. Et pour ça, certains font recours au traitement traditionnel et d’autres, un traitement médical pour la prise des médicaments surtout les antibiotiques (infection bactérienne), des antiviraux pour l’infection virale, des antiparasitaires, etc. Sur une période d’une semaine à trois semaines par voie orale ou injectable s’il s’agit d’un cas grave.